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Le véritable cancer du téléphone cellulaire

Vendredi 31 décembre 2004 @ 11:01:42  |  Auteur: gillou
Rechercher dans Gsm Info
Non, cette étude ne prouve absolument pas que le GSM peut provoquer le moindre cancer… mais des recherches ultérieures sur des organismes vivants, voir des humains volontaires, seraient fortement souhaitables. Non, ce rapport ne soutient pas les thèses qui inquiètent le grand public, mais les effets [des radiations à faible puissance] sur le génome de cellules vivantes élevées in vitro tendent à rendre de telles assertions un peu plus plausibles

Le professeur Franz Adlkofer vient d’achever une étude scientifique conduite dans un cadre européen dont le seul titre résume la portée : Risk Evaluation of Potential Environmental Hazards from Low Energy Electromagnetic Field (EMF) Exposure Using Sensitive in vitro Methods.

Cette étude, étalée sur plus de 43 mois, ayant coûté plus de 3 millions d’Euros, tendrait à prouver que des rayonnements électromagnétiques de faible intensité provoquent une rupture des chaînes d’ADN de différents types de cellules. Cette première approche permet de traiter le sujet avec un maximum d’objectivité, sans que des considérations de milieu « parasite » puisse être invoquées. Il faut s’attendre à ce que les ténors de l’industrie des télécoms rétorquent précisément que ce n’est là qu’une analyse « in vitro » qui ne correspond pas du tout avec la réalité.

Le véritable et premier cancer du téléphone cellulaire, c’est avant tout l’absence d’information objective, le néant total en matière de véritable étude épidémiologique effectuée à grande échelle et non financée, de près ou de loin, par les opérateurs et fournisseurs d’énergie. C’est également cette lassante et insupportable guerre des communiqués ou « l’absence de preuves scientifiques concrètes » est synonyme « d’absence de danger réellement prouvé » donc équivalent à « absence de danger tout court ». En littérature, on appelle çà un syllogisme boiteux. Dans le domaine des télécoms, on n’appelle pas çà, on l’ignore.

Source:Réseaux-Télécoms



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