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Une année catastrophique pour le canadien Nortel

Jeudi 17 janvier 2002 @ 18:26:09  |  Auteur: max
Rechercher dans Nortel
Le canadien Nortel Networks annonce jeudi ses résultats financiers pour 2001, une année catastrophique, mais les analystes pensent que l'équipementier en télécommunications est désormais mieux placé que ses rivaux pour profiter d'un redémarrage cette année.
Abattu en plein vol avec l'éclatement de la bulle technologique et l'effondrement des valeurs internet, Nortel a connu une "annus horribilis" en 2001, avec des pertes devant dépasser les 25 milliards de dollars américains. Le groupe a annoncé fin décembre qu'il prévoyait une perte par action de 16 cents au quatrième trimestre, sur un chiffre d'affaires de 3,4 milliards de dollars. Un an plus tôt, il claironnait un bénéfice par action de 26 cents pour des ventes de 8,8 milliards. Mais les analystes estiment que le groupe est encore trop optimiste : si l'on en croit le consensus de Thomson Financial/First Call, qui a interrogé 29 d'entre eux, la perte de l'opérateur au quatrième trimestre se chiffrera plutôt à 17 cents par action. Pour autant, la plupart estiment qu'après les coupes sombres menées au pas de course l'an dernier, Nortel est mieux préparé à affronter une année 2002 où les commandes en équipement télécoms ne devraient pas encore abonder. "Nortel a été beaucoup critiqué en 2001 sur le nombre de gens et le pourcentage de sa force de travail qu'il a laissé partir. Mais avec le recul, il semble que tout le monde soit en train de procéder à des restructurations de même ampleur", souligne John Wilson, directeur de RBC Capital Markets. "Au bout du compte, mieux vaut agir trop tôt que trop tard", ajoute-t-il, estimant que Nortel "va être l'un des premiers grands groupes de cette taille à avoir atteint ce niveau d'équilibre, ce qui veut dire qu'il en verra les bénéfices sur ses marges plus tôt que les autres". En octobre, Nortel a assuré que ses restructurations porteraient ses fruits dès le premier trimestre 2002, où il retournerait à l'équilibre avec un chiffre d'affaires de seulement quatre milliards de dollars, contre cinq prévus auparavant. RBC Capital Markets, cependant, reste plus prudent en soulignant que les dépenses d'investissement des clients de Nortel, comme les fournisseurs d'accès à internet, ne devraient repartir qu'après le premier trimestre 2002. D'autres analystes voient également Nortel mieux placé que des concurrents comme Lucent Technologies pour profiter du redémarrage économique. Même si les ventes de Nortel vont encore chuter de 8% au quatrième trimesre, comparé au troisième, "c'est substantiellement mieux que les récents résultats ou avis de plusieurs équipementiers en télécommunications", soulignait récemment une étude de UBS Warburg. Un avis partagé par Joe Greene, vice-president du secteur télécom et internet à l'institut de recherches IDC Canada, pour qui Nortel est "mieux armé" que ses concurrents. Nortel, qui comptait plus de 94.000 employés à son apogée, quand il représentait la première capitalisation boursière de Toronto, a amputé ses effectifs de près de la moitié pour finir l'année avec 52.000 salariés. Encore 4.000 postes devraient être supprimés au terme de son plan de restructuration.

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